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II. Rumeurs & légendes

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Cthulhu
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# II. Rumeurs & légendes   Sam 5 Sep - 8:49

rumeurs actuelles


Des hurlements dans la nuit
On raconte que, chaque soir, dans les bois de Cheswick, des cris lugubres retentissent. Des hurlements qu'on peine à identifier, sont-ils humains ? Sont-ils l'oeuvre d'une bande de loups ? Personne ne le sait. Quelques curieux ont déjà essayé de trouver l'origine des hurlements, passant la nuit dans la forêt à scruter l'obscurité avec des lampes...A chaque fois, les cris retentissent à un autre endroit, perdant toujours un peu plus ceux qui sont à leur recherche. Ce mystère est toujours d'actualité et tous ceux qui s'approchent des bois la nuit peuvent entendre ces cris à vous glacer le sang...

Alcool de contrebande
Si vous recherchez de l'alcool bon marché, il n'y a pas beaucoup d'endroits où vous fournir depuis que la prohibition a été levée. Et pourtant, il reste un endroit, une petite grange à l'écart de la ville, à côté d'une ancienne ferme où vivent les McFife. L'endroit a l'air abandonné mais ils vivent toujours là, dans la ferme d'un arrière-grand-père qui cultivait des pommiers. D'ailleurs, les arbres sont toujours là et produisent toujours les grosses pommes rouges. Ce sont elles qui permettent aux McFife de faire leur alcool, un alcool fort, transparent, avec un goût curieux, qui certes peut rappeler la pomme, mais d'assez loin. Demandez dans les bars du coin où trouver de l'alcool pas cher et on vous indiquera la ferme des McFife à coup sûr !

L'as de la fauche
Attention à vous qui prenez les bus de French Grove en ce moment ! La police signale qu'un pickpocket fait des ravages dans les sacs à main et les poches de veste des habitants comme des étrangers qui circulent dans le quartier. Plusieurs personnes ont déjà signalé avoir perdu leurs porte-feuilles ou leurs clefs, dans les bus du coin. Aucun portrait-robot ni signalement n'a pu être effectué, mais un point commun entre les victimes semble se dessiner, pour peu qu'on réfléchisse un peu : ils sont tous relativement fortunés. Attention donc à vos poches dans les bus de French Grove !

L'Écarlate
On raconte que quelque part en ville se trouve un club, un club dans lequel tous ne sont pas acceptés. L’Écarlate serait un club gay, ouvert aux hommes qui ne peuvent pas s'afficher ailleurs en ville. On dit que seuls ceux qui savent où ils se trouvent peuvent y entrer, on y demande un mot de passe à l'entrée et le meilleur moyen d'y entrer est d'être accompagné de quelqu'un qui y a accès. Mais c'est un club chaleureux, où l'alcool est bon et où la musique fait danser jusqu'au bout de la nuit. La rumeur dit qu'il se trouverait quelque part au centre-ville ou dans Oakland Hill.
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# Re: II. Rumeurs & légendes   Mar 6 Oct - 14:35

affaires résolues


L'égorgeur de French Grove
En 1917, alors que de nombreux hommes étaient partis sur le front européen, c'étaient aux femmes de faire tourner la ville et la société. Et elles y arrivaient très bien d'ailleurs, sans les hommes pour les diriger et les brimer. A Cheswick, la ville se portait même mieux que de nos jours, les bateaux de pêche tournaient bien, la conserverie aussi, tout allait bien. Mais au cours de l'été, alors que les journées étaient longues et chaudes, des incidents vinrent bouleversées le quotidien déjà peu ordinaire de la ville.

Un cadavre fut retrouvé, celui d'une femme, égorgée dans une ruelle. Il semblait qu'on ne lui avait rien fait de plus que lui ôter la vie. Cela se reproduisit, toujours avec des femmes, mais pas n'importe quelle femme. Peu à peu, on se rendit compte qu'il s'agissait de femmes qui géraient les affaires d'hommes partis à la guerre. Une dizaine de femmes moururent avant que la police ne parvienne à l'arrêter, alors qu'il voulait s'en prendre à une capitaine de navire de pêche. Il s'appelait David Collins et avait été reformé à cause d'un handicap physique, n'ayant pu partir à la guerre comme les autres hommes, il avait accumulé une sourde colère et une grande rancœur. Il avait frappé les femmes pour prouver que l'armée n'aurait pas dû le laisser à l'arrière, avec les femmes et les enfants, qu'il aurait pu être un bon soldat.

Après qu'on l'eut pris, il continua d'affirmer que les femmes ne savaient pas gérer la ville et qu'il n'aurait pas dû rester avec elles. Son jugement fut rapide et on l'enferma à la prison de Cheswick, où il purgerait ses neuf condamnations pour meurtre, plus dix ans pour la tentative de meurtre avortée. Aujourd'hui encore, David Collins est détenu à la prison de Cheswick et est connu comme l'égorgeur de French Grove.

Le voleur d'antiquités
L'université Sokanon attirait, depuis sa fondation, des universitaires passionnés qui étudiaient non seulement la science mais également les lettres. De ce fait, lz grande bibliothèque contenait des ouvrages rares et précieux, des premières éditions d'auteurs renommés, d'ouvrages scientifiques inédits ou de traités de philosophie tout droit venus d'Europe. Des antiquités et pièces historiques s'ajoutaient à cette collection incroyable, renforçant la réputation de l'université en histoire et archéologie.

Cependant, au cours de l'année 1920, des objets commencèrent à disparaître dans l'université. Ces vols ne furent pas remarqués tout de suite, pas avant qu'un étudiant ne souhaite consulter un livre précis et que personne n'arrive à remettre la main dessus. A ce moment-là, les bibliothécaires, le doyen et le directeur se rendirent compte que plus de dix livres étaient manquants, ainsi que quelques pièces archéologiques uniques en leur genre. La police, en se renseignant dans les musées de la région, et notamment de Providence, découvrit que les livres et objets avaient tous été revendus sous le manteau à des musées, des cabinets de curiosités ou à des collectionneurs qu'ils ne retrouveraient probablement jamais. Il fallut user de persuasion avant que les musées n'avouent qu'ils avaient fait des acquisitions frauduleuses de ces biens mais l'université finit par récupérer presque tous les biens dérobés.

Mais ça ne pouvait pas être tout. Il fallait arrêter le voleur qui sévissait dans l'université, après tout il restait encore de nombreux trésors et si les musées avaient rendu les objets en question, les collectionneurs avides de pièces rares étaient bien plus difficiles à démasquer. Mais il n'y eut plus aucun vol dans l'université, le voleur semblait avoir disparu et les collectionneurs mystérieux qui achetaient tous ces biens volés ne furent jamais retrouvés non plus.
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# Re: II. Rumeurs & légendes   Mar 6 Oct - 14:39

Légendes urbaines



La soirée d'Halloween
En automne 1927, une histoire étrange était arrivée à Cheswick. C'était le soirée du 31 octobre, le soir d'Halloween, tous les enfants de la ville étaient de sortie, déguisés pour faire peur aux parents et récolter autant de sucreries que possible. Ils frappaient aux portes, lançaient le traditionnel "trick or treat !" et repartaient avec un peu plus de bonbons dans leur sac. Au fur et à mesure cependant, on voyait de moins en moins d'enfants dans les rues, sans qu'ils ne soient rentrés chez eux pour autant. Les parents commencèrent à s'inquiéter et cherchèrent partout où leurs enfants avaient bien pu disparaître. La nuit était bien avancée quand, enfin, l'un des parents entendit les enfants jouer. Tous les enfants se trouvaient dans les bois, ils jouaient, dansaient et tournaient autour d'un feu de camp, la plupart était en train de dévorer les bonbons qu'ils avaient récupérés. Tous les parents vinrent chercher leurs enfants, qui semblaient se réveiller au moment où on les touchait, comme si ils avaient été somnambules ou quelque chose comme ça. Aucun des enfants ne se rappela quoi que ce soit et aucun parent ne comprit pourquoi ils avaient disparu pour venir jouer dans la forêt. Personne ne posa jamais la moindre question, les gens se contentèrent de faire comme si rien n'était arrivé. Et d'ailleurs, cette drôle d'histoire ne se reproduisit jamais.

La mélopée macabre
A Oakland Hill, vivait un homme, un étranger, nommé August Feuerwald. Il était violoniste et avait eu une carrière incroyable, dans les plus grands orchestres européens. Il s'était installé à Cheswick après la guerre, en 1920, pour y chercher la paix. Les horreurs qu'il avait vues sur le front l'avaient marqué et il ne parvenait plus à jouer, presque plus à dormir. Les gens du coin ne le voyaient que peu, Feuerwald ne sortait presque jamais de chez lui et l'épicerie du coin lui livrait ce dont il avait besoin.

Ce fut en décembre que la musique s'éleva pour la première fois : une partition pour violon à vous fendre l'âme, qui poussait au désespoir tous ceux qui l'entendaient. Mais au matin, quand l'épicier demanda à Feuerwald pourquoi il avait joué toute la nuit, l'étranger fut étonné et lui dit qu'il n'avait pas joué, il n'avait pas entendu la moindre note de musique de la nuit qu'il avait pourtant passé éveillé. Pendant tout le mois de décembre, toutes les nuits la musique s'éleva dans les airs, rendant peu à peu fous tous les habitants de l'immeuble et des alentours. Il y eut une vague de suicides, un homme égorgea sa famille avant de se couper les oreilles pour ne plus entendre la mélopée, une jeune femme prise de démence se dévora la main frénétiquement sans s'en rendre compte...

Durant tout le mois de décembre, peu à peu, l'immeuble se vida, ainsi que les appartements proches, tous ceux qui pouvaient entendre la musique de Feuerwald quittèrent leur logement pour échapper au désespoir qu'il inspirait à tous. L'épicier ne passait plus rien livrer à Feuerwald, qui n'avait pas été vu depuis des semaines.

Et puis, le soir du 31 décembre, la musique ne se fit pas entendre. Le lendemain soir non plus. Pendant une semaine, il n'y eut aucune musique, aucun son, qui ne sortit de l'appartement de l'étranger. Et au matin du 8 janvier, l'épicier vint frapper à sa porte. Pas de réponse. Il frappa plus fort. Toujours rien. Quand il frappa de nouveau, la porte s'entrebâilla et il entra, appelant l'étranger. Avançant dans l'appartement, il découvrit, assis à la fenêtre, l'homme, ou plutôt ce qu'il en restait. Feuerwald était mort, pourrissant, l'un de ses bras s'était décroché du reste du corps et gisait au sol, serrant l’archet dans sa main décharnée.

Plus tard, on apprit que l'étranger était mort depuis un mois quand l'épicier l'avait découvert et personne ne put expliquer comment ils avaient pu entendre la musique venir de son appartement...

La chose endormie
En 1890, le navire de pêche le Scylla était parti en mer, comme à son habitude, pour aller pêcher des homards du Maine. Quand il revint, une semaine plus tard sans le moindre homard, tout l'équipage semblait terrifié et a filé immédiatement au Fish'n'Anchor pour prendre un verre. Ils étaient tous livides, buvant verre sur verre et racontant à tous ceux qui voulaient écouter ce qu'ils avaient vu en mer. Ils affirmaient, tous, même le capitaine Peters pourtant si fiable à l'ordinaire, qu'ils avaient vu une créature gigantesque et monstrueuse, endormie sous les eaux, au milieu d'une cité sans queue ni tête. Dès qu'ils fermaient les yeux, ils revoyaient la créature, ils sentaient à nouveau ce sentiment de vertige, ils étaient à nouveau terrifiés à l'idée que la chose se réveille...On les traita de fous, d'alcooliques et bien pire encore et personne ne voulut jamais croire à leur histoire mais une chose était sûre : plus aucun d'entre ne remit jamais les pieds sur un bateau...
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